Le trafic maritime en Méditerranée représente 30% du commerce maritime mondial. Mare Nostrum n’échappe donc pas au risque de naufrage d’un cargo et notre importante façade maritime pourrait aussi être impactée un jour par un naufrage.
Mais l’État nous joue à nouveau le rôle de celui qui n’entend pas et ne voit pas ce scandale sanitaire.
L’État doit donc agir et Madame la Présidente, notre collectivité pourrait de son côté soutenir des expertises indépendantes afin de permettre une information claire et ouverte à tous les citoyens.